Actualités du 9 au 13 janvier 2023

ACTUALITÉS PROFESSIONNELLES

 

Négociation du volet économique de la convention : à quoi s’attendre ?

Concernant le calendrier tout d’abord, « rien ne se fera avant la fin de l’année », a confirmé Pierre-Olivier Variot, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO). « Le calendrier ira de fin 2023 à début 2024 pour la négociation du volet économique de la convention, car nous souhaitons être le plus à distance possible des chiffres du Covid » explique -t-il. Aucun calendrier précis n’a encore été défini et il faudra attendre septembre voire début octobre pour que débutent les négociations. Les résultats économiques de l’année 2022 se sont montrés très favorables aux officinaux dans leur ensemble avec un chiffre d’affaires (CA) du médicament à +8% et une marge à +4% même si cette dernière corrige à peine l’inflation. « D’après les chiffres de Cegedim, toutes missions confondues, le Covid a boosté les résultats de l’officine de 12 à 13%. Pour être plus précis, nous parlons de 9000 € par officine pour celles qui réalisent moins d’1,5M € de CA et de 17 000 € pour celles dont le CA va de 1,5 M à 2M d’€. Thomas Fatôme estime à 95 000 € par officine le gain réalisé  en lien avec le Covid » détaille Pierre-Olivier Variot. Pour la profession, les enjeux principaux seront ceux du manque de ressources de l’officine pour assumer l’ensemble de ses missions de santé publique et faire face à la lourdeur et aux dysfonctionnements administratifs du tiers payant en particulier, selon nos échanges avec le syndicat.

Source : pharm-enews.fr

 

Le scandale du Mediator de retour devant la justice

Accusés d’avoir caché la dangerosité du médicament commercialisé pour le traitement du diabète et largement prescrit comme coupe-faim, les laboratoires Servier ont été condamnés en première instance pour tromperie aggravée et homicides et blessures involontaires. Mais relaxés notamment du délit d’escroquerie. Ils sont rejugés devant la cour d’appel de Paris du 9 janvier au 28 juin.

Lien vers l’article : https://www.ouest-france.fr/sante/affaires/mediator/le-scandale-du-mediator-de-retour-devant-la-justice-7fa2dcaa-8dac-11ed-9545-6a86069fe887

 

Astera-CERP Rouen migre vers le cloud pour gagner en flexibilité

Le groupe Astera et CERP Rouen, sa société de grossiste répartiteur pharmaceutique, ont fait appel à Kyndryl pour basculer une partie de leur infrastructure vers le cloud.

Lien vers l’article : https://www.cio-online.com/actualites/lire-astera-cerp-rouen-migre-vers-le-cloud-pour-gagner-en-flexibilite-14645.html

 

La FSPF appelle les pouvoirs publics à financer la prévention et à promouvoir l’exercice coordonné

La FSPF demande aux pouvoirs publics la prise en charge des TROD de la grippe, une mesure de santé publique indispensable. Elle tient également à rappeler que tous les pharmaciens d’officine ne sont pas en mesure d’intégrer un exercice coordonné, qui constitue pourtant un indicateur socle de cette ROSP, à défaut de structures d’exercice coordonné sur leur territoire. En conséquence, la FSPF réclame un assouplissement de cette exigence afin de tenir compte de cette réalité de terrain et de ne pas pénaliser les pharmaciens d’officine, pourtant volontaires, qui exercent dans un territoire dépourvu d’une structure d’exercice coordonné. Enfin, la FSPF appelle à la tenue urgente d’une Commission Paritaire Nationale de l’ACI CPTS afin que les partenaires conventionnels prennent les initiatives nécessaires à la couverture complète du territoire.

Lien vers le communiqué : http://www.fspf.fr/fspf-services/breves/fspf-appelle-pouvoirs-publics-financer-prevention-promouvoir-exercice-coordonne

 

Plus de temps pour certifier les dispositifs médicaux afin de limiter les risques de pénuries

La Commission a adopté une proposition visant à accorder plus de temps pour certifier les dispositifs médicaux afin de limiter le risque de pénuries. La proposition introduit une période de transition plus longue pour s’adapter aux nouvelles règles, comme le prévoit le règlement relatif aux dispositifs médicaux. Les nouveaux délais dépendent de la classe de risque dont relèvent les dispositifs médicaux et garantiront l’accès des patients à ces dispositifs. Ils permettront également aux dispositifs médicaux mis sur le marché conformément au cadre juridique actuel et qui sont toujours disponibles de rester sur le marché (c’est-à-dire sans date de «fin de vente»).

Lien vers le communiqué de presse :

https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_23_23

 

Hausse des prix : pas d’autre solution que de les répercuter

La répercussion des hausses tarifaires des laboratoires sur les prix de ventes s’apparente à un casse-tête. « Pour compenser la hausse de ma facture d’énergie, je ne peux le faire que sur les 20 % de mon activité qui ne sont pas administrés. Pour cela, je devrais augmenter mes prix de 9 %, sans compter la hausse tarifaire des laboratoires à répercuter », résume Jonathan Bronner. Renaud Nadjahi est plus catégorique : « Le pharmacien doit augmenter ses prix d’autant, sinon il supportera seul et en totalité l’inflation. » Guillaume Lafarge et Géraldine Pépion ont l’intention d’appliquer les augmentations tarifaires des laboratoires avec nuance et pragmatisme. Pour le premier, « Je vais maintenir les mêmes coefficients multiplicateurs et ajusterai ensuite mes prix si besoin ». Pour la seconde, « Je ne répercuterai pas l’intégralité des hausses sur les produits pour lesquels les consommateurs sont sensibles au prix ».

Source : le moniteur des pharmacies.

 

Communication en préparation de l’USPO auprès des Français en partenariat avec France Assos Santé

« L’idée de cette communication est de mettre les patients au cœur des problématiques », a expliqué Pierre-Olivier Variot, président de l’USPO, le 11 janvier, lors de sa première conférence de presse de l’année. Les thèmes déclinés seront sans surprise : accès aux médicaments, aux soins urgents et non programmés, renouvellement par le pharmacien des ordonnances de patients chroniques… Rebondissant sur les annonces d’Emmanuel Macron du 6 janvier dernier lors de ses vœux aux soignants, et notamment sur sa volonté de desserrer le frein sur les communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS) et de renforcer le service d’accès aux soins (SAS), le président de l’USPO réclame à nouveau un exercice coordonnée plus souple, à l’image de celui des équipes de soins coordonnées autour du patient (ESCAP). « Les CPTS ne couvrent que 30 % du territoire malgré les intentions d’en créer. Il faut aussi que les protocoles de soins en urgence validés par la Haute Autorité de santé puissent être mis en œuvre par les pharmacies hors exercice coordonné », plaide-t-il. Pierre-Olivier Variot a annoncé que différentes actions « coup de poing » seraient étudiées la semaine prochaine lors d’un conseil d’administration extraordinaire du syndicat.

Source : le moniteur des pharmacies.

 

La condition de l’exercice coordonné pour la ROSP est supprimée… pour les médecins !

Le syndicat MG France l’a annoncé hier sur Twitter : la condition de l’exercice coordonné est levée pour le forfait structure 2023 des médecins. Une demande formulée à plusieurs reprises par les différents professionnels de santé soumis à cette obligation pour toucher certaines ROSP, mais jusque-là toujours rejetée par l’assurance-maladie. Ce qui pousse les syndicats de pharmaciens à remonter au créneau.

Lien vers l’article : https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/la-condition-de-lexercice-coordonne-pour-la-rosp-est-supprimee-pour-les-medecins?xtor=EPR-1-%5BNL_editionnumerique%5D-%5B20230111%5D&utm_content=20230111&utm_campaign=NL_editionnumerique&utm_medium=newsletter&utm_source=qph

 

L’exercice coordonné n’est plus obligatoire pour toucher la ROSP

C’était une demande de longue date des syndicats représentatifs de la profession : ne plus conditionner le versement de la rémunération sur objectifs de santé publique (ROSP) pour le développement du numérique en santé et l’amélioration de l’accès aux soins à l’exercice coordonné.

Cette règle pénalisait injustement les pharmaciens qui exercent dans des territoires dépourvus de structures d’exercice coordonné, selon les syndicats. Récemment, les médecins avaient obtenu la levée, à titre exceptionnel pour l’année 2022, de la condition de l’exercice coordonné pour leur forfait structure 2023. Une requête qui s’est longtemps heurtée au refus de l’assurance-maladie.

Cette semaine, les pharmaciens ont enfin reçu un mail de la CNAM confirmant que l’exercice coordonné ne serait plus un critère obligatoire pour prétendre à la ROSP pour le développement du numérique en santé et l’amélioration de l’accès aux soins. « Le directeur général de l’assurance-maladie, Thomas Fatôme, m’a confirmé qu’il avait accepté notre demande, confirme Philippe Besset, président de la FSPF. Dans la convention que nous avons signée, les pharmaciens se sont engagés à participer à un exercice coordonné. En revanche, on ne s’est pas engagé à le créer. Il y a de nombreux territoires où l’exercice coordonné n’existe pas, où les pharmaciens, même s’ils le souhaitent, ne peuvent pas participer, rappelle-t-il. Ce n’était pas juste de les pénaliser. » L’assurance-maladie a donc fini par concéder une neutralisation pour l’année 2022, comme elle l’a fait pour les médecins. Concrètement, les pharmaciens, au moment de faire leur déclaration d’exercice coordonné, auront deux manières de procéder. « Si vous avez un exercice coordonné sur votre territoire et que vous y participez, vous cochez la case et vous aurez la prime de 820 euros et le reste de la ROSP. En revanche, si vous ne pouvez pas être dans un exercice coordonné, vous ne cochez pas la case, vous n’aurez pas les 820 euros mais vous aurez droit au reste de la ROSP, ce qui représente tout de même la somme de 3 000 euros », explique Philippe Besset. Le président de la FSPF a par ailleurs tenu à rappeler à la CNAM l’importance de favoriser le développement des CPTS partout sur le territoire. « Sinon, le même problème va se poser en 2023 », prévient-il déjà.

Source : le quotidien du pharmacien.

 

La collecte des DASRI ne reprend toujours pas

L’éco-organisme Dastri n’assure plus la collecte des déchets en pharmacie depuis le 1er janvier. En cause, le non-renouvellement de la convention avec les syndicats suite à l’échec des discussions. Dastri, le Leem et le Snitem appellent désormais « renouveler, à titre transitoire, les termes de l’ancienne convention-cadre » pour reprendre la collecte au plus vite. En face, la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France « refuse d’engager la profession sans contrepartie, il n’y aura pas de convention sans solution satisfaisante ». Le 11 janvier, les syndicats représentatifs de la profession ont reçu un courrier envoyé par DASTRI, le Leem et le SNITEM. Dans ce document, l’éco-organisme, l’organisation des entreprises du médicament et celle représentant les industries des dispositifs médicaux, s’engagent à prendre temporairement en charge les déchets des activités Covid en officine, et ce jusqu’au 31 mars.

Lien vers l’article : https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/la-collecte-des-dasri-ne-reprend-toujours-pas

 

Substances dopantes : liste 2023 et outils pratiques

Comme chaque année, la liste des interdictions dans le cadre de pratiques ou de compétitions sportives a été actualisée par l’Agence Mondiale Antidopage. Focus sur les nouveautés 2023 et les outils pratiques à disposition pour vous informer et vous aider à sensibiliser les sportifs. Actée par la récente publication d’un décret, la nouvelle version de la liste des interdictions de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) est en vigueur depuis le 1er janvier 2023. Disponible dans son intégralité sur le site de l’AMA, la liste 2023 comporte plusieurs nouveautés, parmi lesquelles :

  • Inhibiteurs de l’anhydrase carbonique : une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques n’est plus requise lorsqu’ils sont administrés par voie ophtalmique.
  • Glucocorticoïdes : il a été clarifié que leur administration par voie ophtalmique n’est pas interdite en compétition.
  • Bêta-bloquants : ils sont désormais interdits en permanence (en et hors compétition) dans tous les sports subaquatiques (dont la plongée libre).

Par ailleurs, une autre modification importante entrera en vigueur le 1er janvier 2024 : l’interdiction du tramadol en compétition. Elle ne sera mise en œuvre que dans un an pour permettre aux sportifs et au personnel médical de mieux se préparer à ce changement de règle et aux laboratoires de mettre à jour leurs procédures.

Pour en savoir plus : https://www.ordre.pharmacien.fr/les-communications/focus-sur/les-actualites/substances-dopantes-liste-2023-et-outils-pratiques

 

Précisions sur les antibiotiques fluoroquinolones

La gravité de certains  effets indésirables, parfois invalidants et irréversibles, nécessite de continuer à informer les professionnels de santé sur les précautions à prendre avant toute prescription, dispensation ou utilisation des antibiotiques fuoroquinolones, afin d’assurer une bonne connaissance de ces effets. Le 10 janvier 2023, l’ANSM a actualisé son dossier consacré aux antibiotiques fluoroquinolones. L’Agence a mis en place de nouvelles actions d’information :

  • un message dans les logiciels d’aide à la dispensation, qui apparaît lorsqu’une fluoroquinolone est dispensée à un patient.
  • un message dans les logiciels d’aide à la prescription qui apparaît lorsqu’une fluoroquinolone est prescrite à un patient,
  • un courriel destiné aux professionnels de santé concernés pour leur rappeler les précautions à prendre lors de l’utilisation des fluoroquinolones, prévu en début d’année 2023.

Lien vers l’article : https://www.ordre.pharmacien.fr/les-communications/focus-sur/les-actualites/precisions-sur-les-antibiotiques-fluoroquinolones

 

La proposition de l’USPO pour s’en sortir

Dans ses vœux à la presse ce matin, Pierre-Olivier Variot, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), a dressé la liste de ses attentes vis-à-vis des pouvoirs publics, et tout particulièrement de l’assurance-maladie. Trop de tâches s’accumulent, selon lui, alors que l’officine croule sous les charges administratives. Afin de permettre aux officinaux de se consacrer à leur cœur de métier, le président de l’USPO est bien résolu à réclamer la création d’un « assistant administratif en officine », à l’instar des assistants médicaux obtenus par les médecins libéraux. Parallèlement, Pierre-Olivier Variot est déterminé à se faire entendre de l’assurance-maladie dont il déplore le mépris envers les pharmaciens. « Nous n’avons eu que deux CPN (commission paritaire nationale, N.D.L.R.) en cours d’année dernière et le directeur général n’a assisté à aucune d’elles », s’insurge-t-il. Décidé à ne pas rester inactif face à la détérioration de l’exercice officinal, le syndicat promet une série d’actions. La première consistera à informer les patients sur les difficultés rencontrées par leur pharmacien (ruptures, tiers payant, etc.) et à les consulter sur leurs attentes vis-à-vis des missions officinales. Au-delà de cette action dont les modalités seront validées par un conseil d’administration extraordinaire la semaine prochaine, Pierre-Olivier Variot n’exclut pas des mouvements de protestation similaires à ceux initiés contre l’article 30 en 2022. « Je ne suis cependant pas pour la grève dure car j’ai la volonté de ne pas pénaliser les patients », a assuré le président de l’USPO, qui indique que le syndicat se rapprochera de France Assos Santé dans sa communication.

Source : le quotidien du pharmacien.

 

Crepoff : une nouvelle instance qui réunit titulaires, adjoints et étudiants

L’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) a annoncé la création d’un cercle de réflexion dédié aux pharmaciens d’officine, le Crepoff. Son originalité ? Intégrer à la fois des titulaires, des adjoints et des futurs diplômés pour faire avancer l’exercice officinal et mieux le faire connaître.

Lien vers l’article : https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/crepoff-une-nouvelle-instance-qui-reunit-titulaires-adjoints-et-etudiants?xtor=EPR-1-%5BNL_editionnumerique%5D-%5B20230112%5D&utm_content=20230112&utm_campaign=NL_editionnumerique&utm_medium=newsletter&utm_source=qph

 

Accès direct aux paramédicaux : « C’est un moyen de réfléchir à la place du médecin généraliste », défend Stéphanie Rist

La proposition de loi Rist visant à instaurer un accès direct aux masseurs-kinésithérapeutes, infirmières en pratique avancée et orthophonistes a été votée mardi 10 janvier en commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale. Le texte doit être débattu la semaine prochaine en séance publique. Alors que les syndicats de médecins dénoncent une volonté de contourner le généraliste et voient en cette proposition « une déclaration de guerre », son auteure, la députée de la majorité Stéphanie Rist, défend une mesure d’urgence face à la dégradation de l’accès aux soins.

Source : egora.

 

CHIFFRES

 

Le groupe Biogaran écoule aujourd’hui 320 millions de boîtes par an en France. Soit une sur trois vendues en officine. Référencé dans plus de 6.000 pharmacies sur 21.000, le groupe a aussi tissé sa toile en se constituant un catalogue de 1.000 produits couvrant la majorité des pathologies. Pour sensibiliser à la bonne observance des traitements, 800.000 bouteilles floquées du logo du groupe ont été distribuées gratuitement en 2021 dans 7.500 pharmacies partenaires. Banco : Biogaran a été élu, dans la foulée, « marque préférée des Français » dans les génériques. Source : challenges.

 

Si le sort est scellé sur le taux de TVA applicable aux masques, tenues de protection et de produits destinés à l’hygiène corporelle adaptés à la lutte contre la propagation du covid-19 (reconduction d’une TVA réduite à 5,5 % jusqu’au 31 décembre 2023), le changement de taux de TVA de 0 % à 5,5 % à compter du 1er janvier pour les tests antigéniques et autotests n’est, lui, toujours pas décidé. Ayant interrogé l’Assurance maladie et le ministère de la Santé, les syndicats pharmaceutiques sont toujours sans réponse officielle.

 

Sur le site de Roussillon (Isère), l’heure est aux grandes manœuvres. « Les travaux de recherche et développement sont achevés. Nous allons entamer, cette année, la prochaine étape : la construction de l’unité de production », détaille Pierre Luzeau, président de Seqens. Avec une capacité annuelle de production de 15 000 tonnes, la future usine permettra, lors de sa mise en service, prévue à la fin de 2025, de couvrir la moitié des besoins en paracétamol de l’Europe. Tout un symbole. La fabrication de ce principe actif, un basique des armoires à pharmacies que l’on retrouve en France sous les marques Doliprane ou Efferalgan, avait déserté le pays depuis près de quinze ans, au profit, notamment, de la Chine et de l’Inde.

 

Depuis le 1er janvier 2023, les préservatifs inscrits sur la LPPR (Eden et Sortez couverts !) sont pris en charge par l’Assurance maladie, sans prescription médicale. Pour toute personne âgée de moins de 26 ans (de sexe féminin ou masculin) et sans minimum d’âge, à condition qu’elle soit un assuré social, un bénéficiaire de l’AME ou un ressortissant de l’Union européenne. Lien vers l’article de la FSPF : http://www.fspf.fr/fspf-services/breves/preservatifs-contraception-urgence-ce-qui-change-au-1er-janvier-2023

 

L’enseigne en pharmacie continue de progresser avec un nombre de 6 912 pharmacies en 2021 soit 34 % du parc total officinal. Source : LPC.

 

Grève des médecins : sept exemples concrets de simplification pour redonner du temps médical

200 généralistes cosignent une tribune appelant à supprimer des « actes inutiles, stupides ou insultants » pour regagner du temps médical. Lien vers l’article : https://www.lexpress.fr/sciences-sante/greve-des-medecins-sept-exemples-concrets-de-simplification-pour-redonner-du-temps-medical-R5PJMCMUP5BRTEO6OQKIRS2XTU/

 

Si une vingtaine de Trod combinés peuvent être utilisés comme tests antigéniques pour le dépistage du Covid-19 par les pharmaciens, les autotests combinés ne sont pas autorisés, comme le rappelle l’Union des syndicats des pharmaciens d’officine (USPO) dans son Point Info du 5 janvier. La liste des tests et autotests antigéniques Covid-19 ou combinés grippe/Covid-19 autorisés est disponible sur le site du ministère de la Santé et de la Prévention : https://covid-19.sante.gouv.fr/tests

 

La réforme des retraites en bref : 64 ans en 2030 ! L’âge légal de départ à la retraite sera progressivement relevé de trois mois par an à partir de septembre 2023. Cela concernera les personnes nées après le 1er septembre 1961. En 2027, il faudra travailler 63 ans et trois mois. En 2030, l’âge de départ passera à 64 ans au lieu de 65 ans en 2031, comme l’évoquait Emmanuel Macron pendant la campagne présidentielle. Réforme Touraine. En parallèle, l’allongement de la durée de cotisation sera accéléré pour atteindre les 43 annuités (172 trimestres) dès 2027. La réforme Touraine votée en 2014 prévoyait d’atteindre ce niveau en 2035. Le projet de réforme fera l’objet d’un projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) rectificatif et sera présenté dans 15 jours en Conseil des ministres. Source : politico.

 

Les laboratoires privés d’analyses médicales et l’assurance-maladie ont signé le 10 janvier 2023 un accord qui met fin à trois mois de bras de fer émaillés de plusieurs grèves. Le compromis prévoit une baisse de 250 millions d’€ en 2023, répartie sur l’ensemble des examens de biologie médicale et une nouvelle négociation pour la période 2024-2026, qui devra être conclue avant le 1er septembre. Des états généraux vont par ailleurs s’ouvrir, probablement dès février, sur le rôle et la place des biologistes. Source : La Croix, Le Figaro, Les Echos.

 

« Sur les 15 premiers jours de janvier, les officines vont pouvoir être livrées en moyenne de 30 boîtes de paracétamol liquides, mais les besoins sont estimés à 50 boîtes. Nous allons donc avoir des manquants de façon à peu près certaine », observe Philippe Besset. L’ANSM a d’ailleurs mis en ligne un document sur l’état des stocks industriels. Lien vers le document : https://ansm.sante.fr/evenements/reunion-dinformation-et-dechange-avec-les-associations-de-patients-et-les-professionnels-de-sante-sur-les-tensions-en-produits-de-sante-focus-paracetamol-et-amoxicilline

 

En plus de devoir rembourser plus de 870 000 euros à la CPAM du Gard, un pharmacien a été condamné à 3 ans de prison, dont 2 ans avec sursis, 5 000 euros d’amende, ainsi qu’une interdiction de gérer une pharmacie pendant 4 ans.

Lien vers l’article : https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/justice/un-pharmacien-de-nimes-condamne-pour-escroquerie

 

Expérimentée dans 8 départements en 2022, la e-carte Vitale va pouvoir être généralisée au cours de l’année, comme le confirme un décret récemment paru au « Journal officiel ». Les assurés pourront prochainement télécharger leur carte Vitale dématérialisée via une application dédiée.

 Lien vers les articles: https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/carte-vitale-sur-smartphone-comment-ca-va-marcher

https://www.usine-digitale.fr/article/la-carte-vitale-numerique-s-apprete-a-etre-generalisee-en-france.N2085296

 

Une cinquantaine de soignants des urgences de Pontoise, soit 90% des effectifs, se sont mis en arrêt maladie, lundi, inquiets de ne plus pouvoir garantir la sécurité des patients dans leurs services. « Nous ne nous mettons pas en arrêt maladie de gaieté de cœur, cela va à l’encontre de notre instinct de soignants, mais on est à bout », explique un infirmier à La Croix. « Ils sont dans un état psychologique déplorable. J’en vois s’écrouler en salle de pause par peur de passer à côté d’une urgence vitale », témoigne Éric Boucharel, secrétaire départemental Unsa-santé.

 

Selon Deloitte, l’utilisation de l’IA pour la découverte de médicaments peut réduire les coûts de développement de 30%.

 

2.484 euros. C’est le budget annuel moyen des fumeurs consacrés aux cigarettes, selon une étude de l’Alliance contre le tabac. « L’industrie du tabac ne ruine pas que la santé », insiste l’association.

 

D’après Interfimo, plus du quart des pharmaciens (27%) sont en âge de partir à la retraite d’ici à 2024, alors qu’il manque en même temps plus de 1.000 étudiants dans la filière pharmacie. « Tous ces chiffres sont préoccupants et présagent d’une désertification officinale », alerte Philippe Besset, président de la FSPF. Déjà chaque année, environ 3.000 officines sont à vendre, mais seulement 1.500 trouvent preneur. « Les réalités du travail du pharmacien ne font pas rêver. Les salaires sont bons, mais il n’y a pas de télétravail possible, les horaires sont exigeants et les difficultés pour recruter sont réelles », résume Philippe Besset. Source : les échos.

 

L’Équateur a rapporté un premier cas de grippe aviaire chez l’humain, quelques semaines après la déclaration d’urgence sanitaire dans le pays et la détection de cette maladie dans des élevages de volailles. L’Amérique du Sud est touchée par l’épidémie partie d’Europe, où elle frappe élevages et faune sauvage sans discontinuer depuis plus d’un an. L’espoir des pays européens pour l’endiguer repose sur un prochain vaccin puisqu’aucun traitement efficace n’existe pour le moment. Source : la tribune.

 

Citic Bank, banque d’État chinoise, propose à tout nouveau client un vaccin de la Covid-19 Pfizer/BioNTech, moyennant l’ouverture d’un compte avec près de 500.000 € de dépôt. Une proposition originale et qui ne passe pas inaperçue, alors que la Chine fait face depuis l’abandon récent de sa politique zéro Covid à une envolée spectaculaire des infections. Source : les échos.

 

Le groupe pharmaceutique Novartis envisage « la suppression d’environ 400 emplois » en France dans le cadre de sa réorganisation. Le laboratoire suisse prévoit de supprimer 8 000 postes dans le monde sur 108 000 au total, soit un peu plus de 7% de ses effectifs. Lien vers l’article : https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/le-groupe-pharmaceutique-novartis-envisage-la-suppression-d-environ-400-emplois-en-france-dans-le-cadre-de-sa-reorganisation_5596676.html

 

Les activités de vaccination et de dépistage assurées par les officines le dimanche ne seront plus possibles après le 31 janvier 2023. Selon l’arrêté publié au Journal officiel du 1er octobre 2022, cette autorisation s’appliquait aux pharmacies ayant déclaré une activité de vaccination à l’agence régionale de santé (ARS) dont elles dépendent et qui assurent les activités en lien avec la Covid-19, c’est-à-dire les prélèvements d’échantillons biologiques pour l’examen de biologie médicale de détection du SARS-CoV-2, la réalisation des tests de dépistage du SARS-CoV-2, l’injection de vaccins contre la Covid-19, mais aussi la double vaccination contre la Covid-19 et la grippe saisonnière, ainsi que la dispensation de médicaments antalgiques de niveau 1. Source : FSPF.

 

Le dispositif spécifique d’activité partielle des salariés vulnérables à la Covid-19 prend également fin au 31 janvier 2023. Jusqu’à cette date, l’indemnité versée au salarié par l’employeur reste fixée à 70% de la rémunération horaire brute, limitée à 4,5 Smic horaires, tandis que la participation de l’État représente 60%. Source : FSPF.

 

GROUPEMENTS

 

Covid : Alerte trafic Paxlovid ®

Face à la récente explosion des cas de Covid-19, les Chinois expatriés en France cherchent à se procurer des médicaments antiviraux, et les envoient en Chine en espérant pouvoir préserver des proches âgés. Dans une interview à BFMTV, le 12 janvier 2023, Alain Grollaud, président de Federgy, rappelle aux confrères qu’il ne faut pas « accepter des demandes massives à des inconnus car vous n’en avez pas le droit ».

Lien vers le replay :

https://www.bfmtv.com/international/asie/chine/covid-19-alerte-au-trafic-de-paxlovid-un-antiviral-parfois-revendu-des-milliers-d-euros-a-des-chinois_VN-202301120042.html

 

Rachat officiel du groupement Hexapharm par Pharmavance Groupe au 01 octobre 2022

Les adhérents informés rejoignent Pharma France s’ils le désirent. (env. 50) Hexapharm cesse d’exister fin 2022. Karim Mahnani (« ex » hexapharm) devient Directeur Opérations PharmaFrance.

Source : LPC

 

Nouveau partenariat pour le Comptoir des pharmacies

Le Comptoir des Pharmacies, lancé en 2016 par Charles Romier, vient de nouer un partenariat avec DirectLog, la CAP d’Alliance Healthcare. Les 10 000 pharmacies inscrites sur la marketplace pourront alors avoir accès aux 3 500 références de DirecLog, 7j/7 et 24h/24 en toute autonomie.

Source : LPC.

 

Première ouverture de l’enseigne Parapromos (dans le 15ème arr. de Paris) pour le groupement

Pharmavance. Une enseigne avec un positionnement « petits prix », qui, selon Amel Khalifi, Directrice de la stratégie de développement de Pharmavance Group, s’inscrit « dans une démarche antigaspi et anti- crise. Notre business model ressemble à celui de NOZ ». Outre le déstockage, « c’est aussi le moyen d’augmenter l’espace disponible en officine pour les nouvelles missions ». 2 Parapromos devraient ouvrir dans les Hauts-de-Seine (à Asnières et Bois-Colombes) et 10 autres en 2023.

Les PDV de cette enseigne seront situés à proximité des pharmacies du réseau.

Sources : LPC et le moniteur des pharmacies. 

Lien vers l’article du moniteur des pharmacies :

https://www.lemoniteurdespharmacies.fr/actu/actualites/actus-tendances-1/pharmavance-lance-parapromos.html

 

Rse CHEZ Objectif pharma

En 2023, de nouveaux outils seront disponibles en matière de RSE : dématérialisation des factures, concentration des commandes à la centrale, amélioration de la gestion des périmés et des sacs remis au comptoir, apllication KéaBot pour vendre à prix réduit des produits proches de leur date de péremption… Et, au catalogue, une prestation de Transipharm pour structurer sa démarche RSE.

Source : LPC.

 

Marques de distributeur (MDD) : le joker face à l’inflation

En période d’inflation, de sobriété énergétique et au regard des difficultés de recrutement, les marques de distributeurs (MDD) se révèlent un atout aux multiples facettes pour les enseignes. Les officines apprennent à jouer avec cette carte maîtresse, en espérant qu’elle devienne aussi une valeur refuge. Une chose est sûre, la MDD est largement utilisée pour faire face à la hausse des prix. « C’est une vraie arme anti-inflation pour les groupements. En de telles périodes, on joue habituellement soit sur les promotions, soit sur la MDD, notamment celle catégorisée premier prix. Développer cette dernière est sans doute plus malin que de miser sur des actions promotionnelles, car elles dégradent l’image et la marge », analyse Hélène Charrondière, consultante spécialiste de la distribution en santé.

Lien vers l’article :

https://www.lemoniteurdespharmacies.fr/actu/actualites/actus-socio-professionnelles/marques-de-distributeur-mdd-le-joker-face-a-l-inflation.html

 

 RETAIL

 

En Belgique, Carrefour teste la livraison autonome par robots

Carrefour Belgique va annoncer le lancement d’un test inédit pour le groupe : la livraison autonome par robots (revoir ici mon test cet été à Milton Keynes au UK, la ville des robots). Les robots Carrefour, dotés de l’IA de DeliversAI sont 100 % autonomes et vont être d’abord déployés autour du siège belge du groupe. Ils partiront du point de vente situé au cœur du “corporate village” de la zone de Zaventem (proche de l’aéroport de Bruxelles). 500 références sont disponibles à la livraison autonome pour le test : essentiellement du snacking (plats préparés, sandwiches, fruits coupés) mais également quelques produits de fond de placard pour les courses de fin de journée. Si le test est concluant, ce service visera de grandes villes : Bruxelles, Anvers, Liège ou Gand. Les robots (électriques) sont équipés de 8 caméras et de capteurs qui ont préalablement cartographié sa zone de déplacement. Ils se déplacent sans risque, évitent les obstacles et sont visibles grâce à de nombreux voyants lumineux. Car, là encore, le sujet majeur, au-delà de la fiabilité technique, est l’acceptabilité sociétale. Donc le zéro-risque.

Source : olivierdauvers.fr

 

Intermarché couvre les déserts médicaux en ophtalmologie

Le distributeur installe dans ses magasins des corners de l’opticien Sym Optic pour répondre à la pénurie d’ophtalmologistes dans les zones rurales et périurbaines. Le partenariat avec Sym Optic propose un espace dédié aux services optiques, mis à disposition par le Groupement Les Mousquetaires au sein de ses points de vente, sous la forme de corner ou en solution mobile sur ses parkings. Ce service est géré en autonomie par Sym Optic (déjà partenaire de Monoprix pour le même type de concept). Il « permet d’effectuer un diagnostic ophtalmologique gratuit, réalisé par un opticien diplômé, qui donne suite à la délivrance d’une ordonnance dans les meilleurs délais par un ophtalmologiste partenaire. Sym Optic propose aussi de la vente de produits optiques », expliquent Les Mousquetaires, qui espèrent répondre ici « à un réel besoin des populations ». Pour démocratiser l’accès aux lunettes, les espaces joueront « à fond la carte de l’offre 100 % santé ». Sur les services, ils promouvront « les solutions de téléconsultations asynchrones (en différé) », annonce Mohand Benabdelouahed, co-fondateur & CEO de Sym Optic. Selon le site intermarche.com, l’ordonnance est reçue par le patient, via un lien sécurisé, sous 72 heures.

Source : LSA

Pour connaître les villes : https://www.facebook.com/symopticofficiel/

 

NOMINATION

 

IQVIA : chaises musicales

IQVIA annonce la nomination de Frank Swaelens en tant que directeur général et vice-président de sa filiale française. Après avoir rejoint le groupe en 2014, à l’occasion du rachat de Forcea, société de business intelligence en santé qu’il a fondée en 2006, Frank Swaelens a occupé différents postes de General Manager notamment pour la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas. Il remplace Jean-Marc Aubert, qui devient Vice-Président Healthcare France. Ce dernier sera en charge de l’élargissement de l’offre de la société auprès des payeurs publics et privés et des offreurs de soins, notamment les établissements, ainsi que de sa stratégie de partenariat avec les gouvernements et les institutions en Europe.

Source : pharmaceutiques.

 

AILLEURS

 

En Ukraine, des pharmacies acceptent désormais les paiements en cryptomonnaies

L’une des plus grandes chaînes de pharmacies du pays s’est associée à Binance pour permettre aux Ukrainiens de payer leurs produits avec ces actifs numériques. Acheter des produits pharmaceutiques et payer en cryptomonnaies. Cela est désormais possible en Ukraine avec ANC Pharmacy. Exploitant plus de 1 000 pharmacies dans le pays, il s’agit de l’une des plus grandes chaînes. Depuis le 3 janvier, elle permet à ses clients d’effectuer leurs achats avec ces actifs numériques grâce à un partenariat avec Binance.

Lien vers l’article : https://leclaireur.fnac.com/article/223022-en-ukraine-des-pharmacies-acceptent-desormais-les-paiements-en-cryptomonnaies/

 

Canada : un rôle élargi pour des pharmacies ontariennes

Depuis le 1er janvier, les pharmaciens peuvent prescrire des traitements pour certaines des affections médicales les plus courantes. Depuis dimanche, les Ontariens peuvent se rendre dans certaines pharmacies de la province afin de recevoir des ordonnances pour 13 affections courantes comme une éruption cutanée, une conjonctivite, une piqûre d’insectes ou une infection urinaire, en apportant simplement leur carte Santé.

Lien vers l’article :

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1945100/pharmacie-prescriptions-medicament-ontario-ottawa

 

Algérie : les pharmaciens montent au créneau : grève nationale le 16 janvier

Le Syndicat National des Pharmaciens Privés « SNAPO » a annoncé le début d’une grève nationale, s’insurgeant contre les mesures fiscales glissées dans la nouvelle loi de finances LF2023. On leur impose une taxe nouvelle de 35% avec un effet rétroactif de 4 années. Et en cas de non-paiement le pharmacien se verra payer une pénalité de 25%, ceci entraîne les petites et moyennes pharmacies à des pertes pouvant entraîner la faillite.

Lien vers l’article : https://www.algerie360.com/les-pharmaciens-montent-au-creneau-greve-nationale-le-16-janvier/

 

AGENDA

 

Tour de France FSPF :

16/01/2023 à TOURS
Amphithéâtre A10 de la Faculté de Pharmacie – 31 av Monge, 37200 Tours
MARCHÉ OFFICINAL ET RÉMUNÉRATION
Les évolutions de la rémunération du pharmacien et du marché officinal
Jean-Marc AUBERT, Directeur général – IQVIA France

23/1/2023 à Toulouse 
Amphithéâtre 2 – Faculté des Sciences Pharmaceutiques – 35 chemin des Maraîchers, 31062 Toulouse
ENJEUX ENVIRONNEMENTAUX : LE TEMPS DE L’ACTION
La place de l’environnement dans l’officine – enjeux et échanges
Olivier TOMA, Associé Primum Non Nocere
Magali BELAUD, Pharmacienne Titulaire
Annabell CRAVO, Responsable RSE et développement durable, Groupe Pierre Fabre

30/1/2023 à Paris
Amphithéâtre Lavire  de la FSPF – Maison des Pharmaciens – 13 rue Ballu, 75009 Paris
TRAVAUX CONVENTIONNELS À VENIR
Objectifs à moyen et long termes pour la convention nationale pharmaceutique – priorités du métierThomas FATOME, Directeur général de l’Assurance Maladie

 

2ème e-Congrès de la Pharmacie par l’USPO
Le lundi 30, mardi 31 janvier et le mercredi 1er février 2023. Un événement 100 % digital pensé par l’USPO et ses partenaires pour accompagner les pharmaciens et leurs équipes sur les nouvelles missions. Une trentaine de webinaires courts et pratiques seront diffusés en direct et animés par des experts.

13èmes Rencontres de l’USPO
Mercredi 8 février 2023 : 13èmes Rencontres de l’USPO : Accès aux soins, prévention, dépistage…les pharmacies relèvent le défi ! 2023 marque le retour des Rencontres de l’USPO au Ministère de la Santé et de la Prévention
Pour en savoir plus : https://uspo.fr/13emes-rencontres-de-luspo/