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Dernières actualités

Actualités du 15 au 18 juillet 2024

GOUVERNEMENT

 

Gabriel Attal sur le départ

Démarrée le 16 juillet 2024 après l’acceptation de la démission du Premier ministre par Emmanuel Macron, cette période de “traitement des affaires courantes” va durer “quelques semaines”, a indiqué sans plus de précisions Gabriel Attal, au JT de 20 heures de TF1, le 16 juillet 2024. Il a surtout annoncé qu’il ne voulait pas rempiler à Matignon si une coalition ou une majorité se formait à l’Assemblée. Pactiser avec les fiables. Ce n’est pas pour autant qu’il ne compte pas s’impliquer en tant que président du groupe Ensemble pour la République (EPR, ex-Renaissance) à l’Assemblée. Alors que le président a encouragé son camp à “mettre une proposition sur la table en vue d’une coalition majoritaire ou d’un large pacte législatif”, Attal a assuré qu’il prendra “une initiative politique” dans les prochains jours. D’ici là, il veut dialoguer avec les autres groupes politiques de la “droite républicaine” et de la “gauche sociale-démocrate”.

Source : politico.

 

Santé: l’urgence d’un consensus politique !

Les élections législatives ont fait basculer la France dans une profonde instabilité politique pendant une durée indéterminée. Seuls les projets législatifs réunissant un large consensus auront une chance d’être adoptés. Pourtant, aucun des trois blocs parlementaires n’a, à ce stade, de projet sérieux laissant espérer le moindre redressement de notre système de santé. Redonner confiance et capacité de décision aux professionnels de santé des services et pôles des hôpitaux publics génèrerait un choc d’attractivité et de productivité dans les établissements, comme au plein cœur de la crise Covid. Permettre une diversification des carrières professionnelles du médical et paramédical en phase avec les besoins des territoires et les aspirations individuelles complèterait cette débureaucratisation de l’exercice, l’hôpital comme en ville.

Lien vers la tribune de Frédéric Bizard : https://www.fredericbizard.com/la-sante-une-aubaine-pour-faire-bon-usage-du-parlementarisme/

 

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Actualités du 8 au 12 juillet 2024

GOUVERNEMENT

 

Gabriel Attal prolongé jusqu’au 17 juillet 2024

Le président a demandé à Gabriel Attal de rester en poste “pour le moment”, afin d’“assurer la stabilité du pays”, selon l’Elysée. Emmanuel Macron a donc refusé la démission du Premier ministre. Cela a une conséquence concrète : le gouvernement conserve toutes ses prérogatives et ne passe pas dans un fonctionnement dit d’“affaires courantes”, auquel cas il aurait été privé de la possibilité de prendre des mesures à impact budgétaire ou, par exemple, de décider de déclencher un état d’urgence. Notez-le dans votre agenda, Emmanuel Macron devrait en toute logique accepter la démission de Gabriel Attal au plus tard le 17 juillet, soit mercredi prochain. C’est ce qu’a laissé entendre hier Emmanuel Moulin, le directeur de cabinet du Premier ministre, aux dircabs des autres ministères. Le 17 juillet est la veille du 18, que vous avez déjà entouré dans votre agenda, puisqu’aura lieu, ce jour-là, l’élection de la présidence de l’Assemblée nationale. Pour que les ministres élus ou réélus députés puissent participer à ce scrutin décisif, il faut que le gouvernement soit “démissionnaire” et passe “en affaires courantes”, ce qui n’est pas encore le cas, puisque le chef de l’Etat n’a pas encore accepté la démission de Gabriel Attal. Or, si elle veut peser, il est difficile d’imaginer que la majorité sortante, qui n’est plus composée que de 168 membres, se prive des voix des 17 ministres élus pour cette élection, ainsi que pour celles qui auront lieu les 19 et 20 juillet pour les postes de vice-présidents, questeurs et présidents de commissions.

Source : Politico.

 

ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES

 

La publication au JO des textes attendus !

Sur le fil, l’avenant conventionnel est paru au « Journal officiel » du dimanche 7 juillet, avec les derniers textes d’application (arrêté de marges sur les biosimilaires et les hybrides et textes « territoires fragiles ») dans la foulée. En pratique, pour le pharmacien, ce texte introduit ou encadre de nouvelles missions (prescription d’antibiotiques, entretiens opioïdes, etc.) et revoit à la hausse plusieurs rémunérations à partir de 2025. En attendant, pour ne pas que 2024 soit une année blanche, des ROSP exceptionnelles (versées courant mars-avril 2025) sont mises en place :

  • 50 € pour la réalisation d’au moins un TROD angine au sein de l’officine en 2024 ;
  • 100 € pour avoir aménagé les locaux ou pour disposer de locaux adaptés au public en 2024 en vue de dépister une infection urinaire ;
  • 400 € pour lancer les entretiens des patients atteints de pathologies chroniques (anti-asthmatique, anticancéreux, AVK, AOD ou bilan de médication) et réaliser en 2024 au moins un entretien ;
  • 50 € pour la réalisation en 2024 d’au moins un accompagnement des femmes enceintes ;
  • 250 € si le nombre de kits de dépistage du cancer colorectal remis en officine en 2024 a augmenté d’au moins 10 % par rapport à 2023 ;
  • 50 euros en plus de la rémunération actuelle (240 euros) si 5 % des délivrances donnent lieu à des échanges de mails avec usage d’une messagerie sécurisée de santé (MSS) et si le pharmacien déclare utiliser une boîte aux lettres organisationnelle ;
  • 200 euros par an pour une démarche écoresponsable ;
  • 100 € pour la substitution d’un hybride et d’un biosimilaire en 2024.

A noter, la rémunération de la réalisation des TROD angine et cystite et la délivrance des antibiotiques, sur ordonnance conditionnelle ou après les prescriptions pharmaceutiques (10 ou 15 euros) est déjà effective pour les pharmaciens formés. La substitution des biosimilaires et des hybrides est d’autant plus attractive pour l’officine depuis la publication de l’arrêté de marge puisqu’à compter du 1er août, une marge s’appliquera aux médicaments hybrides et biosimilaires substituables par le pharmacien, selon un savant calcul. « C’était indispensable. L’absence d’arrêté de marge était un frein à la substitution. Ce n’est actuellement pas très important en termes de rémunération mais ça va le devenir avec l’arrivée de nombreux biosimilaires et hybrides », explique Philippe Besset, qui ajoute : « C’est un premier pas. Le directeur de la Sécurité sociale est mobilisé pour faire appliquer un cadre aux remises dans le prochain projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). » Quant à la lutte contre les fraudes, le déploiement de l’outil ASAFO est en retard. « C’est une priorité de l’assurance-maladie », note Philippe Besset, pas pressé. Le pharmacien recevra 100 euros par an s’il se connecte à cet outil au moins une fois par semaine pendant 46 semaines au cours de l’année civile.

Sources : le quotidien du pharmacien.

 

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Actualités du 1er au 5 juillet 2024

ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES

 

Rousseau, Valletoux, Véran… Quels résultats pour les ex-ministres de la Santé aux législatives ?

Suite à l’annonce des résultats du premier tour des élections législatives dimanche 30 juin, Frédéric Valletoux est qualifié pour le second tour de ce scrutin le 7 juillet, tout comme Olivier Véran, Aurélien Rousseau et Agnès Firmin-Le Bodo. Jérôme Cahuzac, le médecin et candidat dans le Lot-et-Garonne, est lui éliminé.

Lien vers l’article : https://www.egora.fr/actus-pro/politiques/valletoux-veran-quels-resultats-pour-les-ex-ministres-de-la-sante-aux

 

Élections législatives : les pharmaciens députés dans la mêlée

Candidats à leur succession, tous les pharmaciens qui se sont soumis au verdict des urnes hier sont sortis en pole position. Il ne leur reste qu’à miser sur les alliances et, par conséquent sur des reports de voix, pour conserver leur siège dans l’hémicycle. C’est ainsi que Bertrand Bouyx, ancien adjoint d’officine à Bayeux, est arrivé second dans la 5e circonscription du Calvados, devançant de 84 voix son challenger du Nouveau Front populaire. Le retrait de celui-ci au deuxième tour devrait bénéficier au candidat du groupe Horizons. Elle aussi adhérente du parti d’Édouard Philippe, Agnès Firmin-Le Bodo se représentait dans son fief de la circonscription du Havre (Seine-Maritime) où elle est installée. L’ancienne ministre de la Santé du gouvernement d’Élisabeth Borne a recueilli plus de 34 % des voix, talonnée par les candidates quasi-ex aequo du Rassemblement National et du Nouveau Front populaire (NFP). Josiane Corneloup, titulaire à Saint-Bonnet-de-Joux (Saône-et-Loire) jusqu’en 2017, a également capitalisé sur ses activités tant sur le terrain qu’à l’Assemblée nationale, notamment au travers d’une proposition de loi en faveur d’un moratoire sur l’homéopathie, ou pour le déploiement de la télémédecine. Le 7 juillet, Josiane Corneloup affrontera le candidat RN qui l’a devancé de 4 points au scrutin du 30 juin.

Source : le quotidien du pharmacien.

 

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Actualités du 24 au 28 juin 2024

ACTUALITES LEGISLATIVES

 

Débat des législatives 2024 sur TF1 : Gabriel Attal, Jordan Bardella et Manuel Bompard

Ce qu’il faut retenir sur la Santé :

Gabriel Attal a défendu l’augmentation du nombre de médecins formés, passés de « 3 500 en 1998 à 8 000 en 2018 et 12 000 aujourd’hui » ; mais, en attendant qu’ils soient tous formés, le premier ministre a prôné de « déléguer certaines tâches à d’autres professionnels de santé pour libérer du temps médical », rappelant avoir autorisé que les pharmaciens « puissent prescrire des antibiotiques, par exemple en cas d’angine ou de cystite ». Outre un « plan d’urgence pour l’hôpital », Manuel Bompard a mis en avant la nécessité que « tous les services publics essentiels soient à moins de trente minutes de son lieu de vie », ce qui nécessite de « réguler l’installation des médecins ». L’« insoumis » rappelle aussi qu’une proposition de loi avait été rejetée à l’Assemblée nationale lors de la dernière législature par une partie du camp présidentiel et du RN qui visait à réguler l’installation des médecins. Pour Jordan Bardella, les médecins et soignants doivent « pouvoir continuer à travailler, y compris s’ils sont à la retraite, dans le cadre d’un plan de cumul emploi retraite », avec une exonération d’impôt sur le revenu quand ils sont à la retraite. « Il faut débureaucratiser la santé et redonner le pouvoir aux soignants », a également défendu le président du RN.

Source : Le Monde.

Pour comparer les différents partis :

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2024/06/22/legislatives-2024-comparez-les-programmes-des-principaux-partis_6242262_4355770.html

Législatives 2024 : le RN veut « débureaucratiser la santé »

Le parti d’extrême droite promet de supprimer les Agences régionales de santé et de confier le pilotage de la politique de santé aux préfets pour « redonner son sens à une santé de proximité » s’il remporte les élections anticipées. Une proposition déjà critiquée. Il prévoit également la généralisation de la dispensation à l’unité pour 2026 et la suppression de l’aide médicale d’État.

Source : les échos.

 

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Actualités du 17 au 21 juin 2024

ELECTIONS LÉGISLATIVES

 

Le programme d’« Ensemble pour la république »

Le Premier ministre, Gabriel Attal, a promis une complémentaire santé publique à 1 € par jour pour les 3 millions de Français qui n’ont pas de couverture. La mesure vise les retraités, mais aussi les indépendants ou encore les étudiants. Elle reviendrait toutefois à revoir le dispositif déjà existant de complémentaire santé solidaire (CSS), refondu en 2019 et réservé aux personnes dont les ressources sont modestes, note Libération. La majorité présidentielle veut également poursuivre la délégation de tâches en permettant aux pharmaciens, sages-femmes, infirmiers, opticiens et orthophonistes de réaliser des actes médicaux du quotidien pour libérer du temps médical. Pour mieux lutter contre les déserts médicaux, Bruno Le Maire a de son côté proposé de conditionner le financement des études de médecine aux choix de spécialités et de subdivision des internes. “La première spécialité qui sort aujourd’hui, c’est la chirurgie réparatrice et donc la chirurgie esthétique”, s’est indigné le locataire de Bercy. “Si vous décidez de faire de la chirurgie esthétique à Nice, très bien, mais dans ce cas, vous devez payer vos études !”, a-t-il indiqué.

Source : les échos, BTA.

 

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Assemblée Générale DPGS

DPGS a organisé hier son Assemblée Générale annuelle et elle marquera les esprits par la qualité des intervenants : Ronald Pecqueur, Olivier Roy sur le générique, les biosimilaires et l’OTC pour développer la pharmacie de conseil et de proximité, David Syr en vidéo dans un silence religieux et avec une positivité motivante, Olivier Verdure, Fabien Gobréau sur les pièges des réseaux à éviter, Olivier Dehurtevent sur le développement de la centrale partagée UNIPHARM GRAND OUEST par We Buy, Ludovic Vallet sur la signature du décret hier autorisant les trod cystites, et Fabien Corneillie, Frédéric Delmart sur la parfaite santé de notre groupement régional, membre d’APSAGIR.

Merci aux nombreux adhérents ayant bravé le mauvais temps pour leur présence enjouée et attentive, à Myriam Garcia, Christel Baillet, Martine Soufflet, Jonathan OSMAN, NŌTO, lydie BONINO, Denis Bricquet, Jean-Francois Warlop de l’Agetip, aux équipes présentes et bien entendu la team DPGS : Marie-Catherine Hornain, Marylène Flinois, Dorothee Nardin, Aurélie Putman notre nouvelle directrice générale,  notre conseil d’administration très impliqué avec un nouvel administrateur Vinvent Kozak 🙏🙏🙏🍾🍾🍾💪💪💪🐟.

Et si vous veniez rejoindre notre famille pharmaceutique dans un esprit d’indépendance, de liberté et de partage ????

Nous sommes à votre écoute ! 😘

Vidéo : Point sur le marché officinal – Intervention de David Syr de Gers Data

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