Actualités
Apsara et Agir pharma se rapprochent Indépendance et liberté
35 ans DPGS : Samedi 30 septembre 2023
Théâtre Henri Martel, Sin-le-Noble, de 10h à 18h
Congrès ouvert à la profession pharmaceutique, pharmaciens adhérents ou non, titulaires, adjoints, futurs installes, préparateurs, étudiants, équipe officinale… tous concernés et invités
Plus de 60 stands partenaires présents à votre disposition. Des conférences, des intervenants de qualité, des ateliers, des surprises…
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Actualités du 18 au 22 septembre 2023
ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES
PLFSS 2024 : vers la vente d’antibiotiques à l’unité…
En cas de pénurie, le gouvernement souhaite rendre obligatoire la délivrance de certains antibiotiques à l’unité. L’entrée en vigueur de cette mesure dépendra du passage au Parlement du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2024, qui doit débuter fin septembre. Cette décision pourrait aussi contribuer à réduire le gaspillage, dans un pays où la consommation d’antibiotiques reste parmi les plus élevées d’Europe et confronté plus que jamais à des pénuries dont celles d’amoxicilline, un des antibiotiques les plus prescrits. Les pharmaciens s’interrogent sur les modalités pratiques de ce projet. « Découper les blisters, ce n’est pas la bonne réponse. [Pour la] traçabilité en numéro de lot, c’est une vraie galère », estimait récemment Pierre-Olivier Variot, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO). Les conditionnements de produits pharmaceutiques sont régis par des normes strictes. Parmi les autres pistes de lutte contre les pénuries, le gouvernement prévoit d’encadrer le recours à des préparations officinales dans le cadre de plans blancs. Il prévoit également que les patients puissent obtenir un diagnostic en pharmacie en cas de soupçon d’angines ou de cystites, puis un éventuel traitement sans ordonnance si le test rapide d’aide au diagnostic se révèle positif.
Source : pharm-enews.fr
Médicaments : les labos saluent la nouvelle stratégie du gouvernement
Les laboratoires voient d’un bon œil le plafonnement des prélèvements effectués sur leur secteur. Ils vont cependant devoir encaisser la renégociation à la baisse du prix de certains médicaments. Cette « clause de sauvegarde » va être ramenée à 1,6 milliard d’euros en 2023 et 2024. Un « effort tout à fait important », a souligné le ministre de l’Industrie Roland Lescure, sachant que le secteur aurait dû débourser 1,7 milliard d’euros cette année et plus de 2 milliards d’euros l’an prochain. « Cela casse une dynamique délétère, avec des clauses de sauvegarde totalement imprévisibles et totalement confiscatoires », salue Jérôme Wirotius, vice-président du Gemme, le lobby des fabricants de médicaments génériques et biosimilaires. Motif de satisfaction supplémentaire pour l’organisation : le gouvernement a ouvert la porte à un plafonnement spécifique de la « clause de sauvegarde » pour les fabricants de génériques. Ceux-ci ne cessent de rappeler qu’ils ont des très faibles marges et soulagent la Sécurité sociale en offrant des médicaments moins chers. Les industriels vont tout de même devoir encaisser des baisses de prix imposées par les autorités sur les médicaments remboursés par la Sécurité sociale. Le gouvernement espère réaliser par ce biais 850 millions d’euros d’économies sur les dépenses de santé.
Source : les échos.
Actualités du 11 au 15 septembre 2023
ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES
L’ensemble des vaccins désormais soumis à prescription obligatoire
Alors que les pharmaciens sont désormais autorisés à prescrire et administrer les vaccins du calendrier vaccinal, l’agence du médicament a décidé de placer l’ensemble des vaccins, hormis les vaccins grippaux, sous prescription obligatoire. Et ce, afin d’harmoniser les conditions de prescription et de délivrance des vaccins. Côté rémunération, pour tous les vaccins désormais prescrits et administrés par le pharmacien, le tarif sera de 9,60 euros. Pierre-Olivier Variot, président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) précise ainsi que « le tarif « administration seule » de 7,50 euros reste valable lorsqu’il y a administration par le pharmacien sur prescription d’un autre professionnel de santé (médecin, etc.), ainsi que pour la vaccination contre la grippe, et contre le Covid dans le cadre des campagnes de vaccination ».
Source : le quotidien du pharmacien.
Négociations tendues entre les laboratoires pharmaceutiques et le gouvernement
En passe de boucler son budget, le gouvernement doit faire face aux revendications des industriels du médicament très remontés contre « la clause de sauvegarde » prélevée chaque année sur le secteur. « Les mesures économiques et financières qui seront annoncées dans le prochain PLFSS seront déterminantes », a insisté fin août Thierry Hulot, le président du LEEM, représentant des industriels du médicament. Des arbitrages cruciaux sont attendus cette semaine par les laboratoires qui dénoncent depuis des mois la politique de régulation du médicament. A leurs yeux, l’État ponctionne le secteur d’une façon tellement déraisonnable que les industriels seraient de plus en plus tentés d’arrêter de commercialiser, voire de produire en France certains médicaments.
Source : les échos.
Obligation d’évolution de vos logiciels métier dans le cadre du Ségur du numérique en santé : où en êtes-vous ?
Enquête flash
Dans le cadre de la mise à jour SEGUR des logiciels de Gestion d’Officine, certains pharmaciens nous ont indiqué rencontrer des difficultés.
Pour rappel, cette mise à jour vise à améliorer l’utilisation depuis votre logiciel métier, de l’ordonnance numérique, du Dossier Médical Partagé (DMP) et l’usage de la messagerie sécurisée de santé.
Votre éditeur a jusqu’au 20 Septembre pour mettre à jour votre logiciel.
Afin de recueillir vos retours, nous vous proposons de répondre à quelques questions en cliquant sur le bouton ci-dessous :
Répondez à l’enquête flash « Ségur du numérique en santé »
Vos réponses nous permettront de faire remonter vos réalités de terrain, notamment à l’Assurance Maladie et à l’ARS.
Merci pour votre participation !
Apsara Qualité – communiqué de presse OSYS
Le Groupe Apsara, membre fondateur de Pharma Système Qualité, vous prie de trouver ci-joint le communiqué de presse sur les évolutions du premier recours via OSYS (Orientation dans le Système de Soins). Les pharmaciens expérimentateurs Osys sont des engagés Qualité ISO 9001 QMS Pharma.
Actualités du 25 août au 8 septembre 2023
ACTUALITÉS PROFESSIONNELLES
Antibiotiques : la prescription par les pharmaciens est pertinente
Dans un communiqué commun en date du 6 septembre 2023, l’Ordre national des pharmaciens, l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) et l’Association nationale des étudiants en pharmacie de France (ANEPF) affirment que « la prescription d’antibiotiques par le pharmacien est une réponse pertinente aux enjeux actuels de santé publique ». Pour la profession, la mesure annoncée par Elisabeth Borne le 31 août 2023, à savoir la prescription d’antibiotiques directement par les pharmaciens pour les angines et cystites après un test rapide d’orientation diagnostique (TROD) positif, « repose sur des données probantes quant à son efficacité et sa sécurité, tirées d’expériences réussies dans d’autres régions du monde ». Jusqu’alors, les pharmaciens devaient obligatoirement faire partie d’une CPTS ou d’une MSP.
Lien vers le communiqué de presse :
https://toute-la.veille-acteurs-sante.fr/files/2023/09/CDP_COMMUN_ATB.pdf
Les recommandations de la mission Borne contre les pénuries peinent à convaincre
Remises au gouvernement le 30 août, les 50 préconisations de la mission Régulation des produits de santé, mandatée par Élisabeth Borne en début d’année, seraient en train « d’inspirer les travaux en cours pour le prochain PLFSS », rapporte Le Figaro. Ses auteurs précisent toutefois que nombre de leurs recommandations, « si elles sont mises en œuvre, auront leur plein effet dans quelques années ». Sur le terrain, les pharmaciens ne sont d’ailleurs pas convaincus.
Lien vers l’article de l’Ordre : https://www.ordre.pharmacien.fr/les-communications/focus-sur/les-actualites/mission-borne-le-rapport-qui-appelle-a-un-new-deal-de-la-chaine-pharmaceutique
Septembre Évènements APSARA
DPGS fête ses 35 ans
Actualités du 21 au 24 août 2023
ACTUALITÉS PROFESSIONNELLES
Protocoles cystite et angine en officine : la prise en charge entre dans le droit commun
La prise en charge par le pharmacien d’officine de la pollakiurie et des brûlures mictionnelles non fébriles chez la femme de 16 à 65 ans et celle de l’odynophagie pour les patients de 6 à 50 ans, dans le cadre d’une structure d’exercice coordonné ou d’une communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS), entre dans le droit commun suite à la publication d’un arrêté publié dans le « Journal Officiel » du 24 août. Depuis le mois de mars, les pharmaciens intégrés aux CPTS peuvent donc déployer les protocoles de coopération cystite et odynophagie. Il manquait toutefois un texte pour entériner dans le droit de commun la prise en charge de cet acte par le pharmacien. « Jusqu’à aujourd’hui, nous n’avions pas le texte qui permettait à l’assurance-maladie de payer cet acte, rappelle Philippe Besset, président de la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) Pour qu’il n’y ait pas d’interruption, le ministère de la Santé (dirigé alors par François Braun) avait pris un engagement pour que la prise en charge par le pharmacien se poursuive en attendant la publication des textes réglementaires. Avec la publication de l’arrêté du 17 août, c’est désormais le cas, c’est le texte que l’on attendait », explique-t-il. Ce dernier arrêté précise en effet que « le protocole de coopération entre les professionnels de santé est financé par l’assurance maladie, durant la période de validité du protocole ». Dans les faits, l’arrêté du 17 août ne va rien changer pour les pharmaciens d’officine, vu que la prise en charge de ces protocoles de coopération était assurée grâce à l’engagement pris par François Braun. La rémunération de l’équipe est toujours fixée à « 25 euros par patient entrant dans le protocole ». Maintenant que ce texte est publié, Philippe Besset attend d’autres évolutions. « Ce que l’on souhaite désormais c’est que l’on fasse entrer dans le droit commun la possibilité pour le pharmacien de réaliser un acte de délivrance protocolisé suite à un TROD, sans l’obligation de coopération qui s’applique aujourd’hui », avance le président de la FSPF.
Source : le quotidien du pharmacien.
Actualités du 14 au 18 août 2023
ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES
Retour du Covid-19 en France : le ministre de la Santé « reste vigilant » même si « la circulation du virus est faible »
Même si la circulation du virus est encore « faible », Aurélien Rousseau insiste sur l’importance des gestes barrières, qui « doivent rester des réflexes pour se protéger et protéger les autres ». « Les autorités sanitaires n’ont pas baissé la garde, elles sont vigilantes » mais « les modalités de surveillance ont été adaptées pour tenir compte de l’évolution de la situation : le Covid est désormais une des infections respiratoires aiguës virales à côté de la grippe et du VRS » (à l’origine des bronchiolites), a plaidé la DGS. Le ministre de la Santé a également insisté sur les gestes barrières, qui « doivent rester des réflexes pour se protéger et protéger les autres. C’est vrai cet été et ça sera vrai cet automne ». « Quand on a des symptômes, le réflexe du masque doit s’imposer », a-t-il insisté. Il a souligné que « cet automne nous pourrons aussi compter sur la vaccination correspondant au virus tel qu’il a été identifié. Et nous devrons protéger en priorité les personnes fragiles. » La campagne de vaccination, programmée « à partir de mi-octobre », couplera Covid et grippe, a précisé la Direction générale de la santé.
Lien vers l’article : https://www.huffingtonpost.fr/science/article/retour-du-covid-19-en-france-le-ministre-de-la-sante-reste-vigilant-meme-si-la-circulation-du-virus-est-faible_221708.html
Rétrospective 2023 : le point de vue de la FSPF et ses propositions
Philippe Besset, président de la FSPF a fait une vidéo avec son équipe sur les derniers changements de la profession et ses propositions pour les négociations conventionnelles à la rentrée.
Lien vers la vidéo : https://youtu.be/QoChOG8zC2E
Décret sur la prescription des vaccins – Formation Atoopharm
Chers adhérents,
Le décret autorisant les pharmaciens à prescrire les vaccins est enfin publié !
La mise en œuvre de cette nouvelle mission à fort enjeu de santé publique est conditionnée par la réalisation d’une formation obligatoire .
Nous avons sollicité notre partenaire formation ATOOPHARM pour vous faire bénéficier d’une OFFRE UNIQUE qui vous permettra non seulement de remplir vos obligations de formation mais aussi d’être accompagné(e) sur cette nouvelle mission jusqu’au 31 mars 2024 grâce à un accès illimité à 19 modules sur les vaccins pour réactualiser au long cours vos connaissances.
Nous vous proposons une offre privilégiée pour toute commande passée directement sur le site de notre partenaire ATOOPHARM dès ce jour et ce jusqu’au 30/09/2023.
Le programme est conforme au décret et accessible dès ce jour et une attestation qui sera à adresser à l’ARS sera fournie dès sa réalisation.
Pour bénéficier d’une remise de 5 % + les frais d’accès de dossier offerts + un nombre illimité de modules sur les vaccins jusqu’au 31/03/2024, veuillez vous inscrire ici et saisissez le code de remise APSARAVAC.
Vous pourrez obtenir un financement par le FIF PL et/ou l’OPCO EP selon les conditions de financement et d’indemnisation des organismes payeurs et sous réserve du respect par le client des conditions d’attribution fixées par les organismes payeurs.
L’équipe ATOOPHARM reste à votre écoute au 02 35 33 44 97 ou contact@atoopharm.fr.
Bien cordialement,
L’équipe APSARA
03 26 04 64 62
Le Groupe Apsara : DPGS – Pharm&Free – Pharmasud – Unipharm Normandie IDF – Unipharm Grand Ouest – Unipharm Loire Océan – Unipharm 33
Actualités du 31 juillet au 11 août 2023
ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES
Le pharmacien peut prescrire des vaccins !
Depuis le 10 août 2023, les officinaux (et étudiants en pharmacie de 6e année) peuvent enfin prescrire et administrer tous les vaccins recommandés au calendrier vaccinal chez les personnes à partir de 11 ans, ainsi que les vaccins contre la grippe saisonnière aux personnes à partir de onze ans ciblées ou non ciblées par les recommandations vaccinales, selon un décret et un arrêté publiés au « Journal officiel » du 9 août. Une seule exception : les officinaux ne sont pas habilités à prescrire et injecter les vaccins vivants atténués chez les personnes immunodéprimées, précisent les textes. Côté rémunération, la prescription suivie de l’injection est tarifée 9,60 euros. S’il y a seulement une administration de vaccin, le tarif est de 7,50 euros. Pour être autorisé à vacciner, le pharmacien devra être préalablement formé à la vaccination (formation de 10,5 heures de théorie et de 7 heures de pratique) et ensuite déclarer son activité d’administration ou de prescription et d’administration de vaccins auprès de l’Ordre des pharmaciens. Les syndicats représentatifs de la profession – la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France (FSPF) et l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) – se réjouissent tous les deux de cette possibilité de prescrire et vacciner qui était tant attendue. Comme le rappellent l’USPO et la FSPF, un doute reste à lever sur la question des vaccins du voyageur, pas prévus pour l’instant dans les textes. « J’ai demandé à la HAS pourquoi cela était limité aux vaccins du calendrier vaccinal, explique Philippe Besset. En fait, la HAS n’est pas compétente pour donner son avis sur des vaccins qui sont en dehors du calendrier vaccinal. Elle ne peut donc pas se prononcer sur les vaccins du voyageur. Je vais voir avec le ministère si nous pouvons le faire ou non, si nous avons besoin d’un texte ou non. C’est à creuser. » Du côté de l’USPO, on s’interroge aussi sur la possibilité de voir les pharmaciens vacciner les moins de 11 ans dans un avenir plus ou moins proche. Philippe Besset tient également à attirer l’attention sur deux autres évolutions permises grâce à ces textes. « Le pharmacien pourra venir en appui pour la vaccination HPV dès que les collèges la mettront en place à la rentrée, avec une rémunération de 48 euros de l’heure. Les officinaux vont également pouvoir assumer la partie « suivi du calendrier vaccinal » des plans de prévention pour donner suite aux entretiens aux âges clés de la vie qui seront lancés à l’automne. Le pharmacien cotera d’abord l’entretien, qui doit durer 30 minutes (30 euros sont évoqués), puis la prescription et l’administration du vaccin dans un second temps », détaille le président de la FSPF.
Source : le quotidien du pharmacien.
Lien vers les textes officiels :
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000047949119
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000047948973
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000047949107
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000047949091