Séminaire Apsara

1er séminaire GROUPE APSARA à Reims réunissant les comités de pilotage et les équipes des 7 groupements fédérés DPGS, PHARMASUD, UNIPHARM GRAND OUEST, UNIPHARM LOIRE OCEAN, UNIPHARM Normandie-IDF, Pharm&Free, UNIPHARM 33.

Merci à Pharmonweb pour sa participation 🙏. Et de belles surprises et évolutions pour les années à venir !

Assemblée générale DPGS

Quelle belle Assemblée générale DPGS ce 20 juin 2023 à l’IBIS STYLES DOUAI GARE GAYANT EXPO .

Une salle très bien remplie et souriante. Des retrouvailles émouvantes avec notre adhérent poitevin Laurent CHIVOT et son épouse. Une intervention en vidéo amicale et très appréciée de David Syr. Merci à Frederic Baratto et son équipe Teva Santé pour ce point sur les biosimilaires, dont l’importance de pouvoir enfin substituer est attendue par la profession.

Merci à Fabien Gobréau de Pharmonweb, à Alexie Plichon et ISABELLE Plichon de Ma Chevelure, à Jonathan OSMAN de Tandem Media by HUMElab, à sébastien lodato d’Orliman, à Youcef ABDAOUI de Ears 360, à isabelle LACHENY de LABORATOIRE OZALYS, à Alexandre Chavatte et Martine Soufflet d’Osmoz, à Marjorie Baheux et Anne Viseur de SOS MAD Joly médical, à Xavier Bouhet de Clic & Go et à Jean-Claude WARLOP de l’AGETIP SA.
A Marie-Catherine Hornain, Marylène Flinois et Dorothee Nardin, notre Team DPGS, merciiiiiiii. Enfin pour leur accompagnement comptable, Frédéric DELMART , Antoine Bailly et Fabien CORNEILLIE, Merci également.

Y A QUE DE L’AMOUR CHEZ DPGS et GROUPE APSARA ♥️♥️♥️♥️

Indépendance et liberté sont nos valeurs avec efficacité et accompagnement dans notre Groupement de pharmaciens. Que le patient soit le centre de nos pharmacies !

SE FEDERER SANS SE DIVERSIFIER !

 

Actualités du 12 au 16 juin 2023

ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES

Négociations avec l’assurance-maladie : les syndicats en ordre de marche

La situation économique de l’officine qui se dégrade de mois en mois n’attend plus. En alerte, les deux syndicats représentatifs de la profession s’attellent dès cette semaine à la rédaction de la feuille de route des négociations qui se tiendront à l’automne avec l’assurance-maladie. L’USPO et la FSPF ont donc tout l’été pour peaufiner un plan à quatre ans pour une économie officinale aujourd’hui très chahutée. Dans un courrier adressé ce matin à ses adhérents, Pierre-Olivier Variot, président de l’USPO, rappelle une « surinflation » de près de 12 % en 2022. « Cette tendance devrait se confirmer en 2023 et l’impact économique pour les officines devrait être particulièrement important », insiste-t-il. Se rejoignant sur le constat, les deux syndicats plaident tous les deux pour une revalorisation du cœur de métier, à savoir la dispensation. Sur le volet de l’extension de leurs compétences, les syndicats attendent l’assurance-maladie sur une prise en compte de leur action en matière de prévention, notamment dans des missions rémunérées à hauteur de l’engagement en ressources humaines.

Source : le quotidien du pharmacien.

 

Hausse des prix génériques sur les médicaments : Braun ne dit pas non

Dans un contexte de pénurie de nombreuses références, le ministre de la Santé François Braun veut ouvrir la porte à une hausse des prix génériques sur les médicaments. A une condition : que celle-ci soit justifiée et documentée par les industriels pharmaceutiques. Derrière ces négociations, le gouvernement cherche à renforcer les capacités de production de médicaments dans le pays.

Lien vers l’article : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/chimie-pharmacie/hausse-des-prix-generiques-sur-les-medicaments-braun-ne-dit-pas-non-966173.html

 

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Federgy

2 jours de travail constructif et informatif où les groupements ont recomposé leurs bureaux respectifs FEDERGY (j’en serai secrétaire ) et le collectif des groupements.

Nous allons pouvoir travailler pour la profession avec les syndicats et le conseil de l’ordre et les sujets en instance sont nombreux.

Merci à Alain Grollaud et Pascal Louis notamment.

Jean-Claude Pothier

Cancer de la peau et dépistage

Actualités du 5 au 9 juin 2023

ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES

 

Deux amendements pour préserver les pharmacies en territoire fragile

La commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale a adopté hier la proposition de loi portée par le député Horizons Frédéric Valletoux, avant que celle-ci ne soit examinée en séance publique du 12 au 15 juin. Parmi les plus de 700 amendements déposés, dont plus de 500 ont été déclarés recevables, deux concernent directement l’officine. La proposition de loi (PPL) « visant à améliorer l’accès aux soins par l’engagement territorial des professions », qui fait l’objet d’une procédure accélérée, prévoit l’adhésion automatique de tous les professionnels de santé aux communautés professionnelles de territoire en santé (CPTS). « Il y a aujourd’hui environ 800 CPTS avec des niveaux de développement hétérogènes, plaide Frédéric Valletoux. Cette mesure permettra d’accélérer leur déploiement (…) et ce dans le respect du libre choix de chaque professionnel de s’inscrire ou pas dans cette dynamique à travers la possibilité qui lui est reconnue de s’affranchir de cette intégration. » Outre cet article qui concerne l’ensemble des professionnels de santé, les députés ont adopté deux amendements touchant directement les officines. Le premier cherche à limiter la fermeture de pharmacies dans des zones sous-dotées, notamment par le biais des rachats-fermetures. Un autre amendement (article 2 decies) ouvre la possibilité pour les antennes de pharmacies, et donc pour leurs pharmaciens adjoints, de facturer. La loi d’accélération et de simplification de l’action publique (ASAP) de 2020 a en effet mis en place une expérimentation des antennes de pharmacie sur le principe des officines mères-filles, expérimentation en cours pour une seule officine, dans la vallée de la Roya.

Source : le quotidien du pharmacien.

 

Biosimilaires : le “droit de substitution” des pharmaciens bientôt élargi ?

Le ministère de la Santé a réuni le 8 juin 2023 l’ensemble des acteurs des biosimilaires (industriels pharmaceutiques, pharmaciens, médecins et représentants de patients) pour faire un état des lieux de ces produits, similaires aux médicaments biologiques de référence, avec des prix en moyenne 30% moins élevés. L’objectif: renforcer leur taux de pénétration et les économies pour le système de santé. En 2017, la Cour des comptes estimait qu’une substitution à 80% des huit biomédicaments ayant perdu, ou étant sur le point de perdre leur brevet à l’époque, épargnerait 680 millions d’€ par an à l’Assurance-maladie. Mais ce taux n’a pas dépassé les 40% en 2021. Au cœur des débats, le “droit de substitution” des pharmaciens, afin de leur permettre de remplacer un médicament biologique par sa copie moins chère, comme c’est le cas pour les génériques. Après un premier feu vert pour deux médicaments il y a un an, la mesure pourrait donc s’étendre à de nouveaux produits. “Nous sommes dans une période où nous devons optimiser tous nos outils pour augmenter nos marges de manœuvre en termes de budget, et l’augmentation du recours aux biosimilaires constitue un outil parmi d’autres pour y parvenir”, explique-t-on au cabinet du ministre de la Santé. La prise de position de l’Agence européenne des médicaments, fin avril, en faveur de l’interchangeabilité entre un médicament de référence et son biosimilaire pourrait constituer un argument de plus dans la balance.

Source : Le Monde.

 

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Journée Régionale des CPTS à Lille.

Merci à l’Union des URPS Hauts de France et à la région pour l’organisation de cette manifestation interprofessionnelle majeure.

Mention spéciale à Grégory TEMPREMANT et aux équipes.

Actualités du 29 mai au 2 juin 2023

ACTUALITÉS PHARMACEUTIQUES

 

Les produits de contraste restent – provisoirement – en pharmacie

Pour le moment, les produits de contraste pour IRM resteront vendus en pharmacie, et non pas achetés directement par les cabinets de radiologie à partir du 1er juillet. Le dispositif ne devrait être mis en œuvre qu’au 1er mars 2024. Un sérieux coup de frein des autorités qui n’est pas sans provoquer la confusion au sein du réseau officinal.

Lien vers l’article :

https://www.lequotidiendupharmacien.fr/exercice-pro/les-produits-de-contraste-restent-provisoirement-en-pharmacie?xtor=EPR-1-%5BNL_editionnumerique%5D-%5B20230602%5D&utm_content=20230602&utm_campaign=NL_editionnumerique&utm_medium=newsletter&utm_source=qph

 

Faire partie d’une CPTS « ne sera pas une obligation »

À l’occasion d’un événement organisé le jeudi 1er juin par le Syndicat des médecins libéraux (SML) sur le thème de la coordination libérale, Agnès Firmin Le Bodo, ministre en charge de l’Organisation territoriale et des Professions de santé, a affirmé que la proposition de loi Valletoux n’obligerait pas les professionnels de santé libéraux à faire partie d’une CPTS. Soutenue par la majorité présidentielle, la proposition de loi (PPL) sur l’accès aux soins, portée par le député Frédéric Valletoux (Horizons), sera débattue la semaine du 12 juin à l’Assemblée nationale. Cette PPL vise à mettre en place une « meilleure organisation territoriale des soins, par les acteurs de terrain eux‑mêmes, en encourageant une meilleure coordination », notamment en incitant les soignants à adhérer aux communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS). L’article 3 de la PPL Valletoux, prévoit en effet « le rattachement de tous les professionnels de santé aux communautés professionnelles territoriales de santé ». Devant les médecins présents lors de l’événement organisé par le SML, Agnès Firmin Le Bodo a néanmoins tenu à préciser l’élément suivant. « Dans la PPL Valletoux, il n’y a pas d’obligation de faire partie d’une CPTS, c’est une inscription (automatique, ndlr) mais avec une possibilité de se désinscrire », a-t-elle souligné, dans des propos repris par « Le Généraliste ». « Je vous le redis, au gouvernement, nous ne sommes pas favorables à l’obligation mais à l’adhésion volontaire des médecins ! », a-t-elle poursuivi.

Source : le quotidien du pharmacien.

 

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